Le Pays de Dreux entre copines pour un week-end à la Bridgerton

Royale par nature

Tout a commencé par un scroll sur Insta. Et puis, le coup de foudre. Vous savez, celui qui vous arrête net et vous fait lâcher un “OK, c’est ça qu’il me faut”. Plateau de croissants dorés, œufs mollets, et spa très cocooning… Mon algorithme me connait mieux que ma mère !

Je ne sais pas si c’est la trentaine (ou son doux dépassement), mais je commence à aimer autant les parenthèses chics, pas loin de chez moi, que les grandes traversées à l’autre bout du monde. Alors, j’ai partagé le post dans le groupe WhatsApp des copines : « Les filles, on se fait ça ce week-end ? » Dix secondes plus tard, c’était GIFs de valises, des cœurs avec les mains et des “omg yes!” La destination était choisie : Dreux. Oui, Dreux. À une heure de Paris. On se met en mode avion pour visiter le pays drouais entre copines. Au programme : balades historiques, pause nature et moments gourmands. Ce week-end, on s’offre la vie douce et royale qu’on mérite ; et cette impression d’avoir trouvé un secret bien gardé.

Sommaire Visiter Dreux

Bienvenue au Domaine de Primard

Un chien somnole sur un transat vert matelassé rayé de crème. Il relève nonchalamment une oreille quand je passe devant lui. La piscine mijote paresseusement à l’ombre des arbres et des parasols. Je fais voler ma serviette et la dépose à quelques places de Pupuce.

Les filles dorment encore, lovées dans leur lit Queen size du Domaine de Primard. Une longueur, puis cinq, puis dix… Le soleil joue avec les gouttes ruisselantes de mon corps. Je glisse mes sandales, direction le petit-déjeuner. Un jardin fleuri, des tables en fer forgé et le temps qui s’étire. 9 h ? Peut-être 10. Viennoiseries chaudes, fruits frais, et granola maison. Mon thé fume sur mon livre ouvert et des pétales de fleurs épousent l’herbe fraîche. Un rayon de soleil s’attarde entre les feuilles, et pendant un instant, j’oublie qu’on est tout près de Paris. Ici, tout paraît tranquille. Hors du temps.

Les filles me rejoignent en terrasse, une par une ; chacune son style. Elise arrive la première, les cheveux encore humides, emmitouflée dans un peignoir qui semble avaler la lumière. Elle s’effondre dans la chaise face à moi, pousse un soupir d’aise et murmure : « On devrait venir ici tous les mois. » Je ris, parce que c’est exactement ce que je pensais. Ensuite, vient Perrine, lunettes de soleil oversized, robe fluide et air de reine sortie de son sommeil millénaire. Elle attrape une coupe de jus frais — framboise, pomme, orange — et déclare, très sérieusement : « Enfin, un réveil digne de nous. »

Le QG des Queen

Le Domaine s’éveille lentement, à la manière d’un bal qui s’apprête à commencer. Dans le lointain, une barque glisse sur l’Eure, effleurant la surface avec la grâce d’une révérence. Les rosiers s’inclinent sous le poids de la rosée. Tout ici s’orchestre d’une main invisible, comme si la nature elle-même se faisait belle.

Je me surprends à tenir ma tasse comme une lady, le petit doigt en l’air. Le lieu impose une élégance naturelle : celle qu’on croyait perdue, entre les draps en lin froissé et les jardins à la française. Les serveurs se déplacent avec une discrétion chorégraphiée, déposant une assiette de pancakes moelleux et un pot de confiture maison au parfum de fraise et d’abricot. « On dirait qu’on a privatisé Versailles », murmure Perrine en soufflant sur son café. Je souris : Versailles n’a jamais eu cette paix-là.

Nature chic pas loin de Paris

Dreux entre copines

Une chambre à la campagne

On avait réservé une chambre Deluxe, sans trop savoir ce qui se cachait derrière ce mot. En réalité, c’est un cocon de campagne chic : poutres blanchies, linge épais et baignoire à pied. Le genre d’endroit où tu poses ta valise et tu respires. Là où tu te dis que oui, tu pourrais écrire un roman ici. Ou du moins, une lettre d’amour à toi-même !

À midi, on file au spa Susanne Kaufmann. Tout sent la forêt autrichienne et les soins minimalistes. Bassin chauffé, sauna, hammam, tisanerie. On chuchote, sans trop savoir pourquoi ; comme si parler fort risquait de faire s’évaporer la magie. Le soir, c’est le « Bistrot Martin » qui chouchoute nos papilles. Une décoration un peu romantique sans être guindée. Un menu à l’image de son service : à la fois simple et attentionné. Les filles rient, moi je savoure. Il y a des dîners où l’on sent que l’on se crée un souvenir.

Menthe et loupiottes

Avant de remonter, on a longé le jardin éclairé par de petites lanternes. L’air sentait la menthe sauvage et le feu de bois. Je me suis arrêtée sur le ponton, les pieds nus sur le bois humide, et j’ai regardé le reflet des arbres sur la rivière. C’est à ce moment-là que j’ai compris que le luxe, le vrai, c’est ça : avoir le temps de ressentir. Le lendemain matin, on a quitté le Domaine à regret, les cheveux encore un peu humides du spa, les joues rosies par le calme. On s’est promis d’y revenir à l’automne, quand les feuilles rougiront les allées et que les cheminées crépiteront. Parce qu’il y a des lieux qu’on visite, et d’autres qu’on garde pour soi toute une vie.

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Dreux entre copines

Informations pratiques | Domaine de Primard 
  •  : Domaine de Primard, 28260 Guainville (à 1 h de Paris)
  • Réserver une chambre
  • Ancienne demeure de Catherine Deneuve, ce havre de paix posé sur les rives de l’Eure mêle élégance champêtre et art de vivre à la française. On y vient pour son spa Susanne Kaufmann, ses chambres avec vue sur les jardins à la française, et sa table « Bistrot Martin »qui célèbre les produits locaux et écoresponsables, issus des meilleurs producteurs régionaux.

Escapade à Dreux

Le centre-ville historique de Dreux, c’est la surprise qu’on ne voit pas venir. Entre les façades à colombages qui semblent poser pour une carte postale et les ruelles pavées où il fait bon flâner, l’ambiance a ce petit goût de “week-end à la française” qu’on adore. Autour de la place Métézeau, les cafés sortent leurs chaises en rotin, les terrasses s’animent, et les assiettes sentent bon la cuisine du marché. On papote, on trinque, on observe les passants. Bref, on vit. Le Beffroi veille, l’église Saint-Pierre brille au détour d’une rue, et les jolies boutiques donnent envie de repartir avec un souvenir (ou deux). Dreux a ce charme tranquille des villes qu’on redécouvre le temps d’une balade : simple, vraie, et pleine de petits trésors cachés.

Les beautés à voir

  • La place Métézeau : le cœur battant de Dreux, bordée de jolies façades à colombages et de terrasses animées.
  • La Grande Rue Maurice Viollette : parfaite pour flâner entre boutiques, galeries et vitrines fleuries.
  • Le Beffroi : emblème de la ville, il domine les ruelles pavées et offre une ambiance médiévale unique.
  • L’église Saint-Pierre : chef-d’œuvre gothique qui veille sur le centre ancien, à deux pas des cafés.
  • Les passages et ruelles adjacentes : à explorer pour leurs portes sculptées, enseignes anciennes et petits détails d’époque.

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Dreux que voir tourisme

Que faire près de Paris à la campagne

Escapade nature à 1 h de Paris

Visiter Dreux entre copines, environs de Paris, nature

Visiter Dreux : week-end luxe près de Paris

Informations pratiques | Office de Tourisme du Pays de Dreux 
  •  : 9 Cour de l’Hôtel-Dieu, 28100 Dreux
  • Agenda
  • Ouvert toute l’année, l’OT propose visites guidées du centre historique, circuits thématiques et bons plans pour découvrir les artisans, les marchés et les plus jolies façades de la ville. On y trouve aussi des idées de balades dans la vallée de l’Eure et des conseils personnalisés pour profiter au mieux de Dreux et de ses environs.

Expo arty au centre d’art contemporain l’ArTsenal

Le centre d’art contemporain l’ArTsenal est l’une des plus belles surprises de Dreux. Installé dans un ancien arsenal du XVIIIᵉ siècle, ce lieu à la fois brut et lumineux fait dialoguer patrimoine et création contemporaine. À l’intérieur, les murs de pierre rencontrent la modernité des installations artistiques : expositions temporaires, sculptures, photographies, vidéos… chaque visite y raconte une autre façon de voir la ville et le monde. Le musée accueille aussi des résidences d’artistes et des ateliers pour le public, rendant l’art accessible et vivant. Situé en plein cœur du centre historique, à deux pas du Beffroi, c’est la pause culturelle parfaite entre deux flâneries ou un café en terrasse. Et en plus, l’entrée est gratuite !

Autre visite culturelle : le musée d’Art et d’Histoire

En flânant dans le centre de Dreux, on est tombées un peu par hasard sur le Musée d’Art et d’Histoire. Installé dans une ancienne chapelle néo-romane de 1895, l’endroit a ce charme un peu suranné des lieux qu’on ne cherche pas, mais qu’on adore trouver. À l’intérieur, des tableaux, des objets archéologiques, des souvenirs de la ville, et même une toile signée Monet : l’Étude de Glycines, racontent Dreux à travers le temps.

Confidences au Domaine Royal

Le soleil réchauffe les toits de Dreux lorsque nous arrivons au Domaine Royal, l’ancienne place forte médiévale du puissant comté drouais. En contrebas, les jardins semblent avoir été dessinés pour accueillir nos bavardages et nos rires étouffés. Élise, carnet en main, note des bribes d’histoires comme si elle espionnait les fantômes des duchesses. Perrine, elle, photographie les allées, car ici même les fleurs ont ce petit quelque chose de noble. D’ailleurs, le Mausolée Royal de la famille d’Orléans se dresse fièrement devant nous. L’odeur des pierres anciennes, le silence des lieux… Il y a dans l’air une étrange intimité. Nous avons parlé d’amour, de projets, de nos vies qui filent trop vite ; avec ce sentiment rare d’être à la fois ailleurs, à cent lieues de notre quotidien, et à notre place. Si Bridgerton avait eu lieu en Eure-et-Loir, c’est sans doute ici que tout aurait commencé.

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Visiter Dreux séjour nature près de Paris

Dreux entre copines

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Cueillette aux Jardins d’Imbermais

Ce matin-là, l’air sentait la rosée et la promesse d’une journée parfaite. Direction les Jardins d’Imbermais, à quelques minutes de Dreux, pour une cueillette façon roman champêtre, version bottes en caoutchouc et paniers tressés. Entre les rangs de tomates cerises et les pommiers chargés de fruits, on chantonne, on savoure et on remplit nos paniers comme si on préparait un banquet de duchesses affamées. Les fraises encore tièdes du soleil fondent sous nos langues ; on rit et profite. Même les papillons semblent flotter plus lentement pour écouter nos histoires…

Séjour en pleine nature pas loin de Paris

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Jardins d’Imbermais

Informations pratiques | Les Jardins d’Imbermais 
  •  : route de Brezolles, 28500 Imbermais (à 10 min de Dreux)
  • Cueillette libre de fruits, légumes et fleurs selon la saison : fraises, tomates, pommes, courgettes, pivoines… tout droit du champ à votre panier.
  • Ouvert tous les jours de mai à octobre, horaires variables selon la saison. En savoir plus
  • Astuce : venez le matin pour éviter la foule et profiter de la lumière dorée sur les champs — c’est le moment parfait pour les photos et les rires entre copines.

Pique-nique et sortie bateau au plan d’eau Mézières-Ecluzelles

Quelques kilomètres plus loin, le décor change : le plan d’eau de Mézières-Écluzelles, avec ses roseaux, ses voiliers miniatures et cette eau qui fait tout scintiller. On a étalé nos trouvailles sur une nappe fleurie : tomates croquantes, fromage de chèvre, biscuits aux amandes, jus de pomme et cola du coin. Un festin simple mais digne d’un pique-nique royal. Perrine a sorti une coupette de son sac (bien cachée), Élise a enlevé ses sandales pour tremper les pieds dans l’eau, et j’ai fermé les yeux, bercée par le clapotis. L’après-midi s’est étiré entre confidences, fous rires et une balade en bateau improvisée.

Séjour nature à 1 h de Paris à Dreux

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Une Visite de la ville de Dreux pour un séjour dans une nature royale entre amies

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Informations pratiques | Plan d’eau de Mézières-Ecluzelles 
  •  : entre Mézières-en-Drouais et Écluzelles, à 5 km de Dreux 
  • Classé zone Natura 2000, ce plan d’eau de 130 ha est un havre de paix pour les amateurs de nature et de détente.
  • À ne pas manquer : la Maison des Espaces Naturels : expositions sur la faune et la flore locales, jumelles à disposition, conseils d’observation et balades guidées par des passionnés.
  • À faire : balades en barque, paddle, voile ou simple farniente sur les berges : chacun trouve son rythme.
  • Aire de pique-nique, sentier autour du lac (5 km) et observation d’oiseaux avec jumelles prêtées à l’accueil.
  • Coup de cœur : au coucher du soleil, les reflets sur l’eau transforment le plan d’eau en miroir doré, presque un décor de film romantique.

Une lettre d’amour à Anet

Je crois que je suis tombée amoureuse à Anet. Pas d’un homme, non — d’une époque, d’une femme, d’un parfum d’Histoire. En poussant la porte du Centre d’interprétation de la Renaissance, j’ai eu cette impression rare de remonter le temps sans effort, comme si Diane de Poitiers elle-même nous avait invitées à visiter son royaume secret. Le lieu n’a rien d’un grand musée glacé : c’est une suite de petites pièces feutrées, où chaque détail semble pensé pour réveiller la curiosité.

Dans la première salle, un murmure de musique de cour… et soudain, une reconstitution du château d’Anet, celui qu’Henri II fit bâtir pour sa Diane. Les maquettes s’illuminent au fil du récit, et je me surprends à sourire, comme si j’assistais à une confidence amoureuse vieille de cinq siècles. Un peu plus loin, une salle évoque les codes de la séduction à la Renaissance : bijoux, lettres, symboles cachés dans les peintures. On découvre que Diane s’était emparé d’un symbole : un croissant de lune : clin d’œil discret à son prénom, déesse de la chasse et de la nuit. J’ai trouvé ça follement poétique.

La beauté des mots

Puis vient ma préférée : la salle des mythes, toute en clair-obscur. Dans la pénombre, les murs s’animent lorsque l’on vient toucher des mots projetées dessus : amour, beauté, chasteté, puissance, savoir… On rejoue le mythe de Diane : déesse libre et insaisissable, mais aussi amante et chasseresse. L’atmosphère a quelque chose de magique ! Un peu plus loin, la salle de l’architecte dévoile maquettes et esquisses de l’époque, rappelant combien la Renaissance savait mêler art et génie.

Et là, j’ai senti ce vertige doux qu’on éprouve parfois dans les musées : celui d’être minuscule face à l’intelligence et à la beauté du monde. En ressortant, j’ai levé les yeux vers les pierres blondes du château en face de nous, imaginant Diane, fière et libre, traversant les jardins avec ce mélange de grâce et d’insolence. Si la Renaissance avait un visage, elle aurait sans doute ses yeux.

Croissant de lune

Sous les dorures du château d’Anet, Diane de Poitiers cachait un secret… Son emblème : le croissant de lune entrelacé de deux “D”. Il n’était pas qu’un symbole mythologique. Il représentait aussi, discrètement, l’union de ses initiales à celles d’Henri II, son amant royal. On retrouve ce motif gravé dans la pierre, sur des vitraux, et même sur des objets d’art commandés par la duchesse. Et petite curiosité : son bain personnel, découvert lors de fouilles archéologiques, a révélé un système d’eau courante d’une modernité incroyable pour l’époque !

Informations pratiques | CIR Anet 
  •  : 1 place du Château, 28260 Anet (à 10 min de Dreux)
  • Horaires : ouvert tous les jours (sauf le mardi) de 10h à 13h et de 14h à 18h. Fermeture annuelle en janvier.
  • Tarifs : à partir de 6,50 € (4 € pour les enfants). Visite libre ou guidée selon disponibilités. 
  • À savoir : Le musée propose des maquettes, des reconstitutions immersives et des animations interactives pour comprendre la vie à la Renaissance et les amours secrètes de Diane de Poitiers.
  • Accès : Parking gratuit sur place, idéal pour une halte lors d’une balade entre Dreux et la vallée de l’Eure.

Balade royale au Château d’Anet

Je me suis glissée dans les allées du château d’Anet, et tout de suite, j’ai été happée par cette atmosphère où l’Histoire se fait complice. Construit pour Diane de Poitiers par Philibert Delorme, l’architecte visionnaire de la Renaissance, le château mêle élégance classique et ingéniosité technique : escaliers à double révolution, arcades décoratives et fontaines aux sons presque musicaux selon la pression de l’eau. J’ai imaginé Diane se prélassant dans son bain personnel, doté d’un ingénieux système d’eau chaude, c’était un véritable spa avant l’heure. Puis, en observant les façades sculptées, j’ai souri en pensant aux passages secrets que la favorite a pu utiliser pour échapper aux regards indiscrets, et aux habitants qui, pendant la Révolution, racontaient que le château était maudit pour en protéger certaines salles.

La mèche de Diane de Poitiers : un petit trésor scientifique

La mèche de cheveux de Diane de Poitiers, exposée au château d’Anet, n’est pas qu’un simple souvenir : elle raconte beaucoup sur la vie à la Renaissance. Les scientifiques ont pu confirmer sa couleur blond foncé naturelle, et y ont trouvé des traces d’huiles et pommades utilisées pour l’entretien des cheveux à l’époque. Mieux encore, l’analyse révèle des indices sur son alimentation riche en protéines et minéraux, typique des nobles de la cour. En un petit filament, c’est tout un pan de la vie de Diane qui se fait tangible, un lien direct entre le passé et la science moderne.

L’or, un elixir toxique…

Diane de Poitiers buvait quotidiennement un élixir contenant de l’or, dans l’espoir de préserver sa jeunesse. Cette pratique, appelée « chrysothérapie », était censée ralentir le vieillissement et donner un teint éclatant. Cependant, des analyses scientifiques ont révélé que cette habitude a eu des conséquences dramatiques.

En 2008, lors de fouilles au château d’Anet, les chercheurs ont retrouvé le squelette de Diane. Les analyses ont montré que ses os contenaient une concentration en or 250 fois supérieure à la normale, et une mèche de ses cheveux analysée en 2009 a révélé un taux 500 fois plus élevé que la moyenne humaine. Ce taux exceptionnel indique une intoxication chronique à l’or.

Cette intoxication a des effets néfastes sur l’organisme : elle fragilise les os, provoque des douleurs articulaires et peut entraîner des troubles neurologiques. Dans le cas de Diane, cela a contribué à la fragilité de ses os et à la perte de cheveux observées lors des analyses. Ainsi, dans sa quête de beauté éternelle, Diane de Poitiers a payé un lourd tribut à la médecine de son époque.

Visiter Anet le château de Diane de Poitiers

Château d’Anet entre copines

Informations pratiques | Château d’Anet 
  •  : 2 place du Château, 28260 Anet (à 10 min de Dreux)
  • Ouverture : du 1er avril au 31 octobre, tous les jours sauf le mardi, 14h à 18h.
  • Tarifs : 11,50 €, en visite guidée uniquement.
  • À noter : acheté en 1860, ce château est une demeure familiale, privée et habitée.

Où manger à Anet

L’Auberge de la Rose

À quelques mètres du château d’Anet, L’Auberge de la Rose est l’adresse parfaite pour prolonger la visite sur une note gourmande. Le cadre est charmant : pierres apparentes, poutres en bois et une petite terrasse fleurie dès les beaux jours. En cuisine, le chef propose une carte courte et saisonnière, où tout est fait maison à partir de produits frais. On y savoure un filet de bœuf sauce poivre, des poissons cuits à la perfection ou encore des desserts à l’ancienne qui rappellent les dimanches de campagne. Le service est attentionné, chaleureux sans chichi, et les formules du midi offrent un excellent rapport qualité-prix. C’est le genre de table qu’on garde dans son carnet d’adresses pour y revenir avec des copines.

Où manger à Dreux

L’Origine

Juste à deux pas de l’ArTsenal, L’Origine es possède une déco soignée, moderne et une jolie terrasse ensoleillée. Je recommande la formule du midi, idéale pour un déjeuner rapide mais raffiné après une expo ou une balade dans le centre historique.

Market Pub

Au cœur de Dreux, le Market Pub est un lieu emblématique qui allie tradition et modernité depuis plus de 60 ans. Une déco stylée, une ambiance chaleureuse et des plats savoureux. C’est le spot idéal pour un déjeuner ou un dîner entre copines. La carte évolue au fil des saisons, mettant en valeur les produits locaux. On adore !

Que ce soit pour l’histoire, les musées, la gastronomie ou les balades nature, visiter Dreux à 1h de Paris offre un week-end royal entre copines, mêlant charme, confort et découvertes inattendues. Entre secrets bien gardés, petites adresses cosy et paysages doux, Dreux devient cette parenthèse parfaite qui fait oublier la ville le temps d’un week-end.

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