Visiter Chartres, bal sous les étoiles & petit-déjeuner sous les cerisiers

Deuxième étape de mon remake Mange, Prie, Aime – Visiter Chartres.

« Nous avons des nuits plus belles que vos jours »

Il est minuit lorsque nous sortons du Café Serpente. Des lampions tournicotent au-dessus d’un pêle-mêle de tables et de chaises enlacées. L’odeur du café de fin de soirée infuse la terrasse. Elle se mélange aux accolades amicales et aux alcools des couche-tard. Je remonte le col de mon manteau et suis Claire, mon amie, d’un pas enjoué. Notre destination ? Le parvis de la Cathédrale Notre-Dame. Autour de nous, des confettis de lumière embrasent la ville. Des éclats de beauté, partout ! Ils s’échappent et se collent à nos yeux. Chartres en Lumières a commencé ! D’avril à janvier, tous les soirs, de nombreux sites et monuments chartrains se mettent sur leur 31 – juste avant que les étoiles naissent, jusqu’à 1 heure du matin.

Chartres en Lumières

L’écrivain Milan Kundera pense qu’il existe, dans le cerveau, une zone tout à fait spécifique qu’on pourrait appeler la « Mémoire Poétique ». Elle enregistre ce qui nous a charmés, ce qui nous a émus, ce qui donne, à notre vie, sa beauté. Eh bien, à cet instant précis, je ne vis que pour la Cathédrale de Chartres. « Belle, c’est un mot qu’on dirait inventé pour elle. » (Ne me remerciez pas.) Atypique avec ses deux tours dépareillées et sa rosace illuminée, elle impose sa grâce enchanteresse au tout venant. Quiconque croise son œil vitré est happé ; comme hypnotisé.

C’est ainsi que, dans la fraîcheur d’une nuit d’avril, nous sommes restées, Claire et moi, bouche bée devant sa vénusté. Je crois bien qu’il n’y avait pas d’étoiles ce soir-là, juste le reflet de tous les regards qui s’étaient arrêtés pour l’admirer, elle, la Belle Notre-Dame. Devant, miroitait des mosaïques humaines, des fragments de caractères et de rêves. Or, rubis, saphir… Une myriade de couleurs peuplait, alors, notre imaginaire.

Sommaire Visiter Chartres

Destination l’Eure-et-Loir

Quand on aime, c’est toujours difficile de dire pourquoi. Pourquoi je me sens si bien avec toi ; pourquoi lorsque je me réveille, c’est à toi que je pense ; pourquoi mes pas veulent me conduire jusque chez toi ? Et cætera. J’ai eu un coup de foudre pour Chartres, et vais tenter de vous expliquer pourquoi. On s’est rencontrées, le 21 avril dernier. J’avais pris le train du quai 18, à la Gare Montparnasse – que j’ai d’ailleurs failli louper. J’étais arrivée 1h en avance, et attendais le mauvais train. Dans mes oreilles, chantait Zaho de Sagazan « Dis-moi que tu m’aimes » (ça ne s’invente pas).

Visiter Chartres

Un train nommé désir

J’étais bien, dans ma bulle, sans bruit de la folie humaine qui se tramait devant moi. Des valises, des jambes, des chapeaux, des adieux et des baisers, des courses contre-la-montre. Et puis d’un coup, un couple se plante devant moi, grand sourire. Panique. Je les connais ? Rappelle-toi, cerveau, d’où les connait-on ? … « Oui ? Bonjour ? ». C’était deux étrangers qui souhaitaient se rendre à Versailles. Ils me montrèrent leur smartphone, tout était écrit en grec. Mais finalement, c’était facile. Dans leur quête, ils avaient déjà tout : le train, l’heure, la direction, le temps de trajet… Je vérifie sur la télé, oui, le prochain train fait bien Versailles – Oh, tiens, il va à Chartres aussi. Je leur confirme que « Yes, everything is ok. »

Oui, vous vous en doutiez, hein. C’était également le mien. Je m’en suis rendue compte 3 minutes avant le départ. Regard dans le vide, yeux qui s’écarquillent, neurones qui se connectent. Oh, bordel ! Mais, c’était aisé. Je savais déjà tout. Même le numéro de quai ! Je venais de leur indiquer quelques minutes auparavant. Quai 18. Pas de hasard dans la vie, n’est-ce pas. 1 heure après, j’étais à Chartres.

L’art subtil de jouer avec le soleil

Que faire à Chartres ce week-end ?

À midi ou à minuit, il y a tout ce que vous voulez.

Au bout de chaque rue, notre regard s’envole. Monte ; s’élève haut dans le ciel. Il grimpe de plus en plus, escalade les nuages, égratigne la lune et fuse vers les astres. Devant nous, se dresse un phare étincelant. Un phare à la mère, qui Marie les croyants et les curieux, et où les marins se font pèlerins. Je m’imagine alors la flopée de marcheurs venus des quatre coins du globe, lever la tête et pouvoir, enfin, toucher du doigt leur but. Littéralement. La Cathédrale de Chartres se tient droit devant eux, devant nous. Devant moi. Partout dans la ville, elle veille.

Comment visiter Chartres ?

En flânant, mes amis ! Flânons dans le quartier de la Belle Notre-Dame et divaguons sur la beauté de ses venelles bleutées. Car, oui, j’aime faire durer le plaisir et, avant d’aller fouler son sol sacré, prenons le temps de découvrir son quartier. L’histoire de la Ville Haute remonte au Moyen-Âge. En ces temps, elle était totalement close, ajourée de neuf portes. Elles sont, aujourd’hui, matérialisées par un marquage au sol et accompagnées, la nuit, d’une lumière bleue discrète. Ces portes donnaient accès à l’ancien cloître médiéval (les maisons des chanoines).

Le quartier Cathédrale

C’était une ville dans la ville. Pour y accéder, obligé d’emprunter l’une des portes. Il n’y avait pas de parvis devant la cathédrale, elle était bordée par de nombreuses maisons, dont la maison canoniale, l’une des plus vieilles de la ville. Elle est située face à la Tour Nord et date du XVIIIe siècle. Le cœur historique avait une vie qui lui était propre. S’y côtoyaient Hommes d’Église, commerçants, artisans, pèlerins, mais aussi étudiants des écoles de Chartres (alors à leur apogée).

Quelques rues plus loin, l’on trouve le quartier marchand (place Billard, actuellement). Il était, à l’époque, le plus peuplé. C’était le quartier du négoce – là où tout se passait. Vraiment tout… Saviez-vous que la place du marché accueillait aussi des sentences judiciaires ? En effet, c’est ici que se dressait le pilori. On y exhibait les plus dangereux criminels et l’on marquait au fer les hommes envoyés au bagne. De nos jours, c’est plus posé. On admire tranquillement la jolie halle de style Baltard et l’on vient faire nos petites emplettes les jours de marché.

Informations pratiques | Office de Tourisme de Chartres 

La Cathédrale de Chartres

Elle est le centre de mon monde, à cet instant. Ce n’est alors pas un hasard, si le soleil tourne autour d’elle ! Des rayons d’or se couchent sur ses contours et jouent les équilibristes sur ses deux tours. L’une épurée des années 1150 et l’autre, flamboyante, des années 1510. « Un chef-d’œuvre du génie créateur humain. » Ce sont les mots de l’UNESCO pour qualifier Notre-Dame de Chartres. Mais cette merveille n’est pas qu’extérieure. Dès le portail franchi, je perçois une atmosphère douce et tamisée, digne et royale. Quelle grandeur ! En haut, une voûte étincelante – belle à s’en choper un torticolis. Au sol, des dalles noires mystérieuses forment le célèbre labyrinthe. D’ailleurs, le saviez-vous ? Si l’on repliait la Cathédrale sur elle, le labyrinthe viendrait se calquer à la perfection sur la rosace centrale.

Mais la beauté ne serait être complète sans l’art précieux des vitraux. Avec 2600 mètres et plus de 3500 personnages, ils forment le plus grand ensemble au monde. Et ils nous en font voir de toutes les couleurs ! Du bleu, surtout. Du bleu de Chartres. Sublime, aux nuances azur et d’une translucidité étonnante. La Cathédrale est vraiment unique. En effet, son état de conservation n’a pas d’équivalent : on la voit telle qu’elle était au Moyen-Âge. Je regarde l’Histoire lorsque je visite Chartres.

La « Chambre spéciale de Marie » et sa Sainte Chemise

La Cathédrale se surnomme la Chambre spéciale de Marie. Il faut dire qu’en son sein, se trouve représentée 175 fois cette « Joconde de Chartres » et y repose, serti d’or et de bleu, son voile. Remontons le temps jusqu’en 876, lorsque le roi de France Charles le Chauve offre à la cathédrale la Sainte Chemise (Sancta Camisa), nommée aujourd’hui Voile de la Vierge. Cette relique aurait été portée par Marie le jour de la naissance de Jésus, ce qui en fait une des reliques les plus précieuses pour les chrétiens : liée à Marie et au Christ lui-même comme un témoignage de l’incarnation de Dieu sur terre.

Mais d’où vient la relique du Voile de la Vierge ?

Charles le Chauve détenait ce voile de son grand-père Charlemagne qui l’avait reçu en présent de l’impératrice Irène de Byzance, impératrice du Saint-Empire romain d’Orient à Constantinople. Longtemps gardé enfermé, ce n’est qu’en 1712 que l’on ouvre son coffret. La boulette ! Ce n’est pas une chemise (comme on le pensait), mais un tissu en soie d’un demi mètre de large et de 5,30 mètres de long. La relique quitte alors son nom de Sainte Chemise et devient le Voile de la Vierge. Une expertise fut réalisée en 1927 par les grandes soieries de Lyon et donne en datation le 1er siècle de notre ère. La technique de tissage correspond également à ce qui se faisait en Palestine à cette période. Il est aujourd’hui visible lorsqu’on visite la Cathédrale de Chartres, dans le déambulatoire côté nord, à la chapelle des martyrs.

Le culte de la Vierge Marie remonterait jusqu’à l’ère des Gaulois. La légende de la Virgo Pariturae raconte qu’ils auraient honoré, ici, une vierge sur le point d’enfanter, quelque part dans une lointaine contrée d’Orient. Cette légende a profondément marqué le sanctuaire marial et renforcé la volonté des chartrains d’y construire un édifice de pèlerinage important : la Cathédrale.
Informations pratiques | Cathédrale de Chartres 

Visite insolite des Tours et du Grand Comble

Un parcours des plus originaux me conduit le long des verrières en surplomb, au-dessus des arcs-boutants pour enfin aboutir à l’exceptionnelle charpente en fonte. Le 4 juin 1836, la charpente de la cathédrale, surnommée alors « la forêt » en raison du nombre d’arbres nécessaires pour la concevoir, s’embrase. Rapidement, les travaux se mettent en route et l’on décide de réaliser une charpente métallique. Conçue comme une nef de bateau renversée, elle donne l’impression d’un immense zeppelin (légendaire ballon dirigeable) avec son enchevêtrement de poutres en acier. Construite sous la direction de l’architecte Baron, elle devient vite un sujet d’admiration. En effet, à cette époque, seules quelques rares structures – dont les théâtres parisiens, étaient pensées de la sorte. À faire dans sa visite de Chartres !

Explorer la crypte à la lueur d’une bougie

J’ai rendez-vous à 19 heures, sur le pas d’une petite porte de la Cathédrale, un peu cachée. C’est l’entrée de la crypte Saint-Lubin qui accumule, à elle-seule, plus d’un millier d’années d’histoire de l’architecture de l’édifice. M’accueille alors Père Blondeau, en soutane élégante. Il vient de faire une messe et s’excuse pour son retard – ce n’était pas prévu. Je souris. J’apprécie déjà son naturel et son langage décontracté. Les bougies s’allument doucement et s’échangent de mains en mains.

Une expérience hors du commun

Le silence se fait et mes yeux s’habituent petit à petit à l’obscurité ambiante. La voix du Père résonne sur les parois en pierre, je me laisse porter. L’on chemine, de l’ombre à la lumière, du nord au sud, à pied, mais aussi dans sa tête. Bien que je ne sois pas croyante, je ressens toute la spiritualité du lieu. Le soleil se frotte les yeux lorsque l’on remonte à la surface. Il n’y a pas un bruit dans la cathédrale, les vitraux laissent passer une lumière rose-orangée. C’est doux, hors du temps. On doit flotter ; je n’entends pas les pas sur le sol.

« Parfois, la vie devient difficile. Il y a des hauts et des bas, et quand c’est trop dur à porter, on peine à avancer. On s’affaisse, on se voûte, on regarde ses pieds. Ce n’est que lorsqu’on vient jusqu’ici, que l’on entre dans la Cathédrale de Chartres : que notre tête se redresse, que l’on regarde en hauteur. Marie nous relève. », explique le Père. Il y a donc, une chose qui nous lie tous, croyants comme curieux : la beauté de la Cathédrale. Grâce à elle, on contemple (vers) le ciel.

Informations pratiques | Visiter les Combes et la Crypte 

La Ville Basse

C’est l’Eure de la balade ! En route pour mon coup de cœur : la basse ville. Je longe la rivière et cela se transforme vite en partie de cache-cache : là, on voit la Cathédrale ; là, on n’la voit plus… Tout semble paisible le long de l’Eure. Les flots scintillent de vaguelettes – paillettes et, tout autour, le temps s’est arrêté. Je regarde les vestiges d’une époque médiévale, lavoirs, maisons en colombages, ponts de pierre et rues pavées. À découvrir en fin d’après-midi, et remonter doucement pour prendre un verre face à la Cathédrale. Parfait !

L’art sous toutes ses formes

Le Musée des Beaux-Arts

Dehors, les oiseaux babillent. À l’ombre d’un immense arbre, deux amoureux batifolent sur un banc public. De mon côté, je marche sous le soleil printanier et me dirige vers l’ancien Palais Épiscopal, devenu aujourd’hui Musée des Beaux-Arts. Je suis en train d’aposer mes pas dans ceux d’illustres personnages… En effet, ont séjourné dans cet édifice : Henri IV, lors de son sacre en 1594, ainsi que Napoléon et l’Impératrice Marie-Louise d’Autrice, en 1811. L’architecture de la chapelle, tout à gauche en entrant, est splendide. Romantique, avec son dôme à l’italienne… J’adore ! Côté collections, on a des jolies peintures de Zurbaran, Chardin, Soutine, un important fonds Vlaminck… Des sculptures, des émaux, mais aussi une collection d’objets en verre de Henri Navarre. Viennent compléter le musée : des objets ethnographiques d’origine Océanienne. Massue, Tiki de figures ancestrales, ou encore dessins.

Informations pratiques | Musée des Beaux-Arts 
  • Où : 29, cloître Notre-Dame
  • Tarif : Gratuit : droit d’entrée expositions permanentes – Visite libre hors exposition temporaire + le 1er dim. du mois – 6 € pp : visite libre en période d’exposition temporaire.
  • Quand : du mer. au sam : de 10 h à 12 h 30 et de 14 h à 18 h. Le dim : de 14 h à 18 h.
  • Plus d’infos

Le Centre International du Vitrail

Chartres et l’art du vitrail, c’est une histoire d’amour qui dure depuis des siècles. Ce n’est donc pas pour rien que la ville en est la capitale. Le Musée du Vitrail m’invite à me plonger dans cet univers magique et précieux, qui n’existe que par la présence de la lumière… Les couleurs racontent différentes histoires selon la manière dont le soleil perce leurs mystères. Ce que je préfère ? Les rayons ocre qui naissent des vitraux et viennent réchauffer la pièce, tous les reflets chauds qui ondulent et les confettis de poussières qui, doucement, planent. Et bien sûr, le bleu de Chartres. C’est une teinte merveilleuse que je vous souhaite vivement de découvrir ! Et après l’éternel, voici l’heure du contemporain : des expositions temporaires de vitraux modernes valent la renommée internationale du centre ! À ne pas louper (et gros coup de cœur pour l’architecture de l’endroit).

Le musée du Vitrail, installé dans le grenier de Loëns, est classé Monument Historique. Il présente une collection permanente, de 70 vitraux authentiques de la Renaissance, la plus importante de France. De plus, une « école du vitrail et du patrimoine » (cours, stages pratiques) et un centre de formation professionnelle coexistent dans ces locaux et ceux de la place de la Cathédrale.
Informations pratiques | Musée du Vitrail 
  • Où : 5, rue du Cardinal-Pie
  • Tarif : à partir de 7 €
  • Quand : tous les jours, de 14 h à 17 h 30.
  • Plus d’infos

Street-art

Petite chasse au trésor, maintenant ! L’art se décline aussi dans les ruelles de Chartres. Je musarde attentivement et découvre de nouveaux habitants qui ornent ces murs. Comme des messagers immobiles, tous ont leur mot à dire, un message à faire passer. Comme cette petite fille qui prône « pas de Cartier », près du Musée du Vitrail. Pour entendre, suffit de tendre l’oreille – ou bien d’ouvrir grand les yeux. Celle de l’artiste Jimmy C., à deux pas de la Cathédrale, représente Jean Moulin qui veille au grain. Je l’imagine placardé comme garde du corps, protégeant Notre-Dame.

La Maison Picassiette

Je finis par le début. Voilà le retour de mes mosaïques humaines, de ces fragments de rêves qui colorent la réalité et lui donnent des allures d’éternité. Notre histoire commence avec un certain Raymond Isidore. Amoureux fou d’Adrienne, il va lui construire une maison faite d’art et de poésie. Elle qui adorait les fleurs, il lui en offrira des milliers : sur les murs, le sol et le plafond ; elle pourra en profiter tous les jours de l’année. Une ode à sa femme, que l’on retrouve d’ailleurs un peu partout, ainsi qu’à ses voyages imaginaires et à sa foi.

La maison Picassiette est un exemple remarquable d’Art Brut. Entre décorateur et architecte, Raymond Isidore, artiste autodidacte, surnommé « Picassiette », va transformer chaque espace de son habitation en un support artistique : murs, plafonds, cours, jardins, etc. Ce tableau gigantesque, œuvre de toute une vie, issu de son imaginaire, rassemble environ 15 tonnes de matériaux divers qui forment la palette de l’artiste : morceaux de vaisselle brisée, verre, faïences et… assiettes, bien entendu. Labellisée en juin 2016 « Patrimoine du XXᵉ siècle » en région Centre-Val de Loire.

Informations pratiques | Maison Picassiettel 
  • Où : 22, rue du Repos
  • Tarif : je vous conseille la visite « immersive », avec une Adrienne très « nature-peinture » qui nous raconte fièrement le moment où le photographe Doisneau les a immortalisés Raymond et elle. Avec tendresse, elle explique pourquoi on l’a surnommé Picassiette, et non Pique-Assiette, mais aussi, les moments plus difficiles. À partir de 15 €.
  • Quand : un dimanche sur deux, de 11 h à midi.
  • Plus d’infos

Voilà pourquoi j’aime Chartres.

FAQ

  • Pont du boulevard de la Courtille
  • Jardin de Sakuraï (rue d’Ablis)
  • Monument Hélène Boucher (rue d’Aboville)
  • Pont Bouju et la rue de la porte Guillaume
  • Rue des Changes
  • Recul du parvis de la Cathédrale
  • Rue Saint-Eman
  • Rue de la Foulerie
  • Place Châtelet
  • Église Sainte Foy
  • Bonus : au dernier étage de la Médiathèque
  • Visiter la Maison Picassiete
  • Le Musée des Beaux-Arts
  • Le Musée du Vitrail
  • La Cathédrale de Chartres, sa crypte et ses combles
  • Prendre un verre à la « Petite Venise » : la Guinguette les pieds dans l’eau
  • Faire une balade en canoë sur l’Eure
  • Chartres en Lumière
  • Faire de l’accrobranche
  • Une balade à vélo
  • Visiter le Château de Maintenon

Les marchés alimentaires

  • tous les mercredis de 8h à 13h sur le boulevard Chasles (alimentation, présence de produits bio)
  • tous les samedis de 8h à 14h sur la place Billard et la place de la Poissonnerie (alimentation, présence de produits bio)
  • tous les mercredis de 8h à 13h sur le mail des Clos (alimentation et confection)
  • tous les dimanches de 8h à 13h sur le mail des Clos (alimentation et confection).

Les marchés aux fleurs

  • tous les mardis, jeudis et samedis de 8h à 19h sur la place du Cygne.

Chartres historique

  • Pourquoi Chartres s’appelle Chartres ? Car Chartres est la capitale de la tribu gauloise des Carnutes d’où elle tire son nom (carnutum, carnotas).
  • Quel roi a été sacré à Chartres ? Henri IV est le seul Roi de France à avoir été sacré à la cathédrale de Chartres.
  • Qui a été baptisé à Chartres ? Toujours le roi Henri IV.

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Je remercie chaleureusement l’Office de Tourisme de Chartres et le Sanctuaire. Merci à Sophie et à Anne-Marie pour votre agréable présence, le midi et dans la crypte ! Reportage réalisé dans le cadre de ma mission « Mange, Prie, Aime » avec Villes Sanctuaires en France.

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